Libre d'Etre, sans titre

Publié le par mercure

Je marche, sur le chemin je vois transparaître les lueurs de l'aube psycho-logique... 

Elle est bien là, au bout de tout chemin, la Mer... 

Où mes souillures et blessures identifiables seront enfin lavées, digérées des métamorphoses... Car je ne veux pas d'autre choix. 

Un jour de plus, je marche, central, les blés me saluent et se courbent au vent...force est le couloir, le passage...
Ils dansent avec moi...je marche avec eux, rasséréné d'espaces vierges de tout... 


Là-bas, là-bas au bout, il y a la mer, qui t'attend peut-être, toi aussi.
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